Louis Chedid : « la Fête de l’Huma a quelque chose de plus » L’Humanité

Fara C.

Le dernier album de Louis Chedid est un hymne à l’amour. « J’ai choisi d’écrire des chansons pour soigner mes incertitudes, mes déchirements », confie-t-il à l’Humanité-dimanche. Il sera en septembre à La Courneuve. On a hâte.

Louis Chedid revient à la Fête de l’Humanité, cette fois pour revisiter des titres de son dernier disque, « Tout ce qu’on veut dans la vie », avec sa belle équipée formée de David Monet (claviers), Jean-­François Prigent (guitare), Matthieu Aschehoug (basse, contrebasse, guitare) et Mathias Fish (bat­terie). Il nous offrira également un collier de ses classiques, comme « Ainhttps:/si soit-il » ou « Anne, ma sœur Anne ».

En ce 21e album studio dédié à l’amour – dans le sens le plus large –, on retrouve la sensibilité à fleur de cœur qui jamais ne s’est émoussée chez l’auteur, compositeur, interprète, écrivain et réalisateur français d’origine libanaise. Il nous chante, presque à l’oreille, ses rêves d’un autre monde, la nécessité de laisser les machines à leur place et de replacer l’humain au centre de la société, au centre de nos préoccupations. Louis Chedid a préservé, avec une rare densité, ce que Claude Nougaro appelait « l’art de l’enfance ».

«La Fête recèle une emblématique dimension populaire. L’esprit de solidarité que j’y perçois me touche ».

https://www.humanite.fr/louis-chedid-la-fete-de-lhuma-quelque-chose-de-plus-716507

août 15, 2021